Philippe VERGNES 23 janvier 2017 00:09

@Le Gaïagénaire,


Vous basez vos déductions sur des HYPOTHÈSES, formulées très prudemment par A. Lobaczewsky, qui datent de la Seconde Guerre Mondiale et de la croyance en la toute puissance de la génétique. Les données scientifiques actuelles ont dépassé ce stade depuis quelques années déjà.
Vous ne vous référez qu’à des données qui valident ce que vous avez envie d’entendre pour asséner vos certitudes : c’est ce qu’on appelle un biais de confirmation. Il y a eu de nombreuses autres pistes explorées depuis pour expliquer la psychopathie et les recherches ne sont toujours pas terminées. Ne pas en tenir compte, c’est tomber dans l’idolâtrie ou le sectarisme. L’épigénétique découverte récemment invalide d’ailleurs la théorie du tout génétique. La psycho-neuro-endocrino-immunologie et l’endocrinopsychologie ont une toute autre approche, non moins pertinente, basée sur le fonctionnement et la régulation des glandes endocrines pour expliquer la genèse du mal. D’autres pistes encore explorent les ondes cérébrales.La psychotraumatologie défend la thèse du traumatisme précoce et de la perturbation du fonctionnement cérébral et hormonal.

Etc.

Je vous l’ai déjà dis, je ne me limite pas à une seule explication causale pour en faire ma doctrine et le tout génétique, ne vous en déplaise, est dépassé depuis plus de trente ans.

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