Philippe VERGNES 23 janvier 2017 08:11

@ Le Gaïagénaire,


Sur le fait que notre société, dans son ensemble, cherchent à annuler les effets d’une problématique sans jamais chercher à en supprimer les causes, c’est une constante, si je puis dire. C’est même le sport favori de nos politiques de tous bords.

« ... je m’intéresse non pas à la psychopathie mais bien à interrompre la transmission intergénérationnelle des émotions refoulées de la petite enfance des filles. Ce qui peut se faire facilement à l’école par la biographie (ontogenèse). »

Et que faites vous des émotions refoulées de la petite enfances des hommes. Vous pensez qu’elles ne jouent aucun rôle dans cette transmission transgénérationnelle ?

C’est en ce sens que Christiane Olivier souhaite une participation plus active des hommes dans l’éducation des enfants. Tout fonctionne en miroir : la place des femmes dans une société conditionnera ensuite leurs attitudes envers leur progéniture qui a son tour conditionnera la place des femmes dans notre société. Pour que cela change, il faudrait changer de modèle sociétal, passer du patriarcat à un matriarcat. Les sociétés matriarcales sont reconnues anthropologiquement comme étant beaucoup moins violentes.

Croyez-vous que votre « biographie » serait suffisante pour changer cela et le souhaitez-vous vraiment ?

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