Avec les réacteurs à neutrons rapides, surs lesquels nous avions quarante ans d’avance (Superphénix) et qui ont été sabotés par la gauche plurielle des salopards Jospin et Voynet, avec ces réacteurs à neutrons rapides qui s’avèrent être les réacteurs à fission du futur et pour lesquels les Russes ont pris le leadership, avec ces réacteurs à neutrons rapides qui sont développés au Japon, en Chine, en Corée, mais pas en France pour cause de dictature écolo-média et lâcheté de la classe politique, on pourrait utiliser l’Uranium 238 dont nous détenons de loin le plus gros stock du monde après les US et la Russie, et qui représente une réserve de combustible pour 300 ans.

Mais la Ségolène peut mentir en toute impunité, comme ce matin, et la larve Bourdin lui cirer les pompes. Nous sommes sous la dictature de la politique politicienne.

Autre mensonge délibéré de la Ségolène : elle ne parle que du coût de l’uranium. Or, d’une part dans le coût de l’uranium, il n’y a pas seulement la matière première mais l’enrichissement qui est une grande partie du coût. D’autre part, un réacteur nucléaire étant une machine très sophistiquée, le coût de la matière première est bien moindre en proportion. Pour nos réacteurs français, c’est environ un gramme d’ Uranium 235 par an et par habitant.

La Ségolène, c’est le mensonge, l’incompétence, l’opportunisme.