Salut, merci..

il est dit ceci : En définitive la kermesse de Davos aura au moins le mérite de mettre à nu une bonne pour toute la tragédie toujours actuelle, toujours recommencée des damnés de la Terre , et ce n’est pas les larmes de crocodiles des puissants et le mécénat hypocrite en forme de m’as-tu vu qui changera quelque chose.

Les damnés de la terre sont aussi eux même aussi les co-créateurs de cette damnation en refusant de coopérer, et de partager...sur une base volontaire car je comprends la vie...donc ma vie...

En ce faisant , ignorant absolument tout de toutes les conséquences d’une telle décision prise en aveugle, comme le dit Étienne De La Boétie
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-Chose vraiment surprenante (...) c’est de voir des millions de millions d’hommes, misérablement asservis, et soumis tête baissée, à un joug déplorable, non qu’ils soient contraints par une force majeure, mais parce qu’ils sont fascinés et, pour ainsi dire, ensorcelés par le seul nom d’un, qu’ils ne devraient redouter, puisqu’il est seul, ni chérir, puisqu’il est, envers eux tous, inhumain et cruel"

-Il y a trois sortes de tyrans. Les uns règnent par l’élection du peuple, les autres par la force des armes, les derniers par succession de race.

- Mais ils ne font guère mieux ceux d’aujourd’hui qui, avant de commettre leurs crimes les plus graves, les font toujours précéder de quelques jolis discours sur le bien public et le soulagement des malheureux

- Les bêtes, Dieu me soit en aide, si les hommes veulent bien les entendre, leur crient : « Vive la liberté ! » …
Ainsi donc, puisque tout être pourvu de sentiment sent le malheur de la sujétion et court après la liberté : puisque les bêtes, même faites au service de l’homme, ne peuvent s’y soumettre qu’après avoir protesté d’un désir contraire, quelle malchance a pu dénaturer l’homme…. au point de lui faire perdre la souvenance de son premier état et le désir de le reprendre ?

- Et pourtant ce tyran, seul, il n’est pas besoin de le combattre, ni même de s’en défendre ; il est défait de lui-même, pourvu que le pays ne consente point à la servitude. Il ne s’agit pas de lui rien arracher, mais seulement de ne lui rien donner.

- Pour le moment, je désirerais seulement qu’on me fit comprendre comment il se peut que tant d’hommes, tant de villes, tant de nations supportent quelquefois tout d’un Tyran seul, qui n’a de puissance que celle qu’on lui donne, qui n’a de pouvoir de leur nuire, qu’autant qu’ils veulent bien l’endurer, et qui ne pourrait leur faire aucun mal, s’ils n’aimaient mieux tout souffrir de lui, que de le contredire.

- Les theatres, les jeus, les farces, les spectacles, les gladiateurs, les bestes estranges, les medailles, les tableaus, et autres telles drogueries c’estoient aus peuples anciens les apasts de la servitude, le pris de leur liberté, les outils de la tirannie : ce moien, ceste pratique, ces allechements avoient les anciens tirans, pour endormir leurs subjects sous le joug.

- Pauvres gens et misérables, peuples insensés, nations opiniâtres en votre mal et aveugles en votre bien, vous vous laissez enlever, sous vos propres yeux, le plus beau et le plus clair de votre revenu, piller vos champs, dévaster vos maisons et les dépouiller des vieux meubles de vos ancêtres ! vous vivez de telle sorte que rien n’est plus à vous. Il se1nble que vous regarderiez désormais comme un grand bonheur qu’on vous laissât seulement la moitié de vos biens, de vos familles, de vos vies.

- Le peuple a toujours ainsi fabriqué lui-même les mensonges, pour y ajouter ensuite une foi stupide.

- Les tyrans eux-mêmes trouvaient bien étrange que les hommes puissent supporter un homme leur faisant mal. Il tenaient beaucoup à se parer de la religion et, s’il était possible, emprunter quelque parcelle de la divinité pour soutenir leur méchante vie (...). En France, les nôtres semèrent je ne sais quoi du même genre : des crapauds, des fleurs de lys, l’Ampoule et l’oriflamme.

-  Ce maître n’a pourtant que deux yeux, deux mains, un corps, et rien de plus que n’a le dernier des habitants du nombre infini de nos villes. Ce qu’il a de plus, ce sont les moyens que vous lui fournissez pour vous détruire.
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On a l’impression que cet Univers au delà du temps dont nous ne savons rien de sa nature celle qui est au delà du temps, qui n’a ni début ni fin, que cet univers a accouché d’un être purement mauvais qui fait des machines et que cela a toujours été comme cela, que cela sera toujours comme cela, l’histoire est finie, point barre...

c’est le message subliminal entre autre du siecle des lumières francs maçonnes,, lumières éteintes auraient t’ ils du préciser...lumières qui ne sont ni franches, ni maçonnes ,donc pas capables de faire le moindre mur quand à leurs membres parasites du vrai travail collectif qui permet entre autre de survivre...

ceci est aussi le message néocons bien sur..et dans néocons il y a cons..c’est pas de ma faute.

Bon on peut en rester là....et vivre devient alors à travailler pour des gens qui ne foute rien du tout, qui sont des sortes de dieux finalement, des dieux romains ou plutôt même babyloniens, démoniaques..

La masse a admis l’échelle de valeur des professions, de l’argent, elle a donc admis son sort..par le biais de la compétition, qui donne donc la naissance d’un autre mythe qui est celui du meilleur , ceci faisant que à chaque seconde nous avons en théorie le meilleur des mondes.....il n’y a donc là non plus rien à dire...les 80 millions de crimes des deux guerres mondiales ont donc eu l’honneur de participer au meilleur du moment et furent tués ,assassinés pour les meilleures raisons...pour le bien de l’humanité...pas d’inquiétude à avoir ,cela ne va même pas atteindre le moindre de nos neurones,sauf exceptions qui par elles même savent aussi ce fait..rendormons nous...le maître veille..d’ailleurs on en cherche un autre...

Vous savez que le mouton , l’animal, si aucun berger ne les regroupe et bien ils sont moins cons que nous car ils n’ont pas besoin de berger et eux ils le savent les moutons animaux..alors il ne font pas aller cherche un berger...pas con le mouton.quand je vois disais que dans néocons il y a cons, je n’exagérais pas..

le drame de la masse est que elle a le pouvoir subtil et en paix sauf si elle ne coopère pas et ne partage pas VOLONTAIREMENT ce qui est le cas...

Dans ce cas elle le laisse à des pouvoirs X, qui sont toujours violents par nécessité, le pouvoir doit être ainsi de manière plus ou moins forte à partir du moment ou il n’est pas compris par la masse que de ne pas cooperer et partager volontairement va mécaniquement produire par effets secondaires inévitable un combat de tous contre tous....et que de cela va nécessairement émerger un gagnant qui aura du par la violence contraindre la masse à obéir....

ainsi le refus de la masse de cooperer et de partager est partie prenante des événements qui vont créer le maître ..chronologiquement c’est la masse qui donne naissance au maître, et à l’esclave...

la masse refuse de voir cela pour des raisons qu’elle ne sait pas, le maître bien que dément est lui moins « con » d’où le terme neocons qui veut dire nouveau cons ....il sait certaines choses au niveau mental sur la masse que la masse ne sait pas sur elle même...comme que il doit cooperer pour y arriver....qu’il doit mentir, faire peur, promettre des récompenses....que du très basique en fait..

Ceci étant une trop courte introduction à peine basique et très superficielle à propos de la maladie mentale de ce que les humains sont devenus...