@Trelawney. Relire le théâtre de Luigi Pirandello.
Croyant naïvement les résumés journalistiques, je m’imaginais qu’il décrirait directement le supplice de vivre avec une épouse paranoïaque, qui l’accuse constamment de toutes sortes de turpitudes. Nenni, galantuomo, Pirandello transpose en ne présentant au public que des délires à deux. Ceci dit, au bout de quelques années, Antonietta finit par être déposée dans un hôpital psychiatrique, où elle survivra à Luigi un joli paquet d’années.