howahkan 4 février 2017 12:08

@Ar zen

Salut, non je n’ai pas lu psychologie des foules...la découverte de disons « soi même », pour faire trop court ,par effets secondaires non recherchés amène a comprendre sans le chercher la dite « psychologie » des foules qui est aussi soi même donc, nous sommes tous si identiques à ce niveau, tout en ayant l’impression du contraire, nos différences ne sont que très superficielles.superficialité alors utilisée par le maître-berger-loup pour manipuler le mouton humain...

ce que je dis se situe sur un plan disons absolu à notre portée par la connaissance de soi même, bien sur la réalité relative elle est ce qu’elle est et c’est à partir de celle ci que la travail doit se faire ....si je planifie un idéal absolu...je suis cuit cuit smiley rien ne va changer et c’est ce qui se produit...

l’ imperfection est une illusion de la pensée qui par rapport à sa vie de m...e donc imparfaite à ses yeux , imagine un absolu parfait qui n’existe que dans nos boites crâniennes et nulle part ailleurs... exactement comme la quête du bonheur cache l’état réel de la pensée qui est de malheur , le vivre( a apprendre par soi même) est la première marche pour moi, 

 les problèmes comme la souffrance humaine sont des phénomènes naturels qui doivent se produire et être résolu car le probleme contient la réponse qui va au delà du désir humain ce qui en clair veut dire va au delà de la pensée humaine, nos autres capacité s’éveillent, les anciennes civilisations dont on essaye de nous cacher l’existence avaient cs capacités qui fonctionnaient.... dans quelles proportions je ne peux savoir cela...retour au réel pratique qui st problématique et doit être changé dans nos sociétés...

et là je ne peux le faire pour personne mais les problèmes donc les faits doivent être perçus profondément, le mal être créé par cela est le catalyseur pour ce faire..mais on essaye de fuir..or fuite = peur..= cerveau paralysé en entier...il suffit au maître de ne jouer que la dessus...

 on commence ce chemin avec ce premier pas bien sur par le plus accessible : le superficiel qui n’est pas un jugement de valeur mais un état de fait...etc et là on va peut être découvrir que résoudre les problèmes ne s’arrête plus quand ils sont là bien sur et est partie intégrante du fait de vire.or nous les fuyons..

cette sorte de chemin intérieur disons n’est pas séparé du chemin pseudo extérieur ...les deux sont totalement liés...

salutations...fingers crossed  smiley


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