alinea alinea 4 février 2017 21:04

pas besoin de se tortiller : soit on a envie que ça change, mais pour de bon bien sûr, et on n’a pas le choix ; alors on laisse de côté le bonhomme qui nous plaît pas parce que ci, parce que ça ! le bonhomme est éphémère ; le bonhomme dit : tout seul je ne peux rien, c’est de tous dont nous avons besoin. Soit on en a peur.
Il y a évidemment toujours une hypocrisie et une mauvaise foi de la part de ceux qui dégomment Mélenchon, par des calomnies la plupart du temps.
Si on veut que ça change, aujourd’hui - et il est déjà bien tard- c’est lui. Point barre.
Si vous trouvez des poux dans la tignasse de Mélenchon, c’est que vous ne voulez pas faire le pas qu’il faut pour que ça change. C’est quoi le problème ?
Car, voyez-vous, ça ne se fera pas en cinq ans, même pas en dix ; il y a tout à faire, en nous déjà, s’investir, dans le monde « du bas » où l ’on peut faire des choses assez rapidement, et puis, en face du monde du haut, le pouvoir !
Alors mon idée est que tous les faux-culs ont les foies.
Que les gens d’extrême-droite votent Le Pen, c’est bien normal, mais c’est un autre monde dont ils rêvent ; pour les autres, pas d’excuse : ils veulent que rien ne changent.
Changer, ça veut dire prendre des risques, c’est forcément faire confiance à ceux avec qui on œuvrera ; on les connait les risques, on peut s’y préparer et être vigilant, mais d’autres arriveront qui nous surprendront.
C’est ça la vie, on n’est pas en train de chercher l’entrée du paradis ! juste le sentier caché par lequel nous pourrons passer pour nous mouvoir, et vivre.
On commence comme ça, c’est ce qu’on a, et puis on continue et on ne sait rien de ce qui se passera à quoi il nous faudra faire face.
je vois autour de moi plein de gens qui ne vivent pas, qui fonctionnent à l’intérieur des barreaux qu’ils ont dressés pour les protéger.
Une vérité révélée, une bonne paye,un petit clan, des passions...il n’y a pas tant de gens que ça qui s’intéressent au commun ; beaucoup moins qu’avant, beaucoup moins qu’ailleurs, c’est la soupe qu’on leur vend qui les rend comme ça !
J’ai vu mon père passer des week end à s’occuper de la mutuelle qu’il présidait ; ma mère s’activer dans ses œuvres laïques ; ils n’étaient militants particulièrement, c’était comme ça, on s’occupait du commun !!
Il faut en retrouver le goût, car il est agréable, et le contact humain parce qu’il est chaleureux...


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