Plus robert que Redford 7 février 2017 11:50

 « Une image très vite dégradée par l’exercice du pouvoir, et notamment le choix d’une ligne politique pour laquelle le chef de l’État, foncièrement libéral, n’avait pas reçu mandat. »

A quoi bon s’informer des idées et promesses de campagne puisque celles-ci sont le plus souvent ignorées face à cette fameuse « Realpolitik » dictée par les « contraintes économiques » ?....

De plus, le maitre mot de tous les politiques en campagne, tous bords confondus, étant : FAITES-MOI CONFIANCE !!, comment ne pas adhérer au mantra du « tous pourris ! » ?

Je vous rappelle, il y a bientôt vingt ans, que suite aux affaires URBA et autres, les politiques s’étaient auto-amnistiés (députés et sénateurs compris) jurant la main sur le cœur que ces pratiques (honteuses) d’un autre âge étaient symptômes d’un temps révolu.

Que voit-on aujourd’hui ?

Je suis assez vieux pour avoir vécu sous le règne du Grand Charles, vilipendé au mitan des années soixante comme « dictateur » et aux mânes duquel on sacrifie maintenant pour sa rigueur morale...


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