velosolex velosolex 12 février 2017 17:50

@Durand
Psychologie à deux balles qui permettent de dédouaner les coupables, après avoir organisé les ratonnades, de leur permettre de se cacher en se couchant sur le divan du père Freud...Freud obligé lui aussi d’ailleurs de se barrer à Londres pour fuir les nazis.

 On juge les hommes d’abord sur ce qu’ils font.
 Sur ce qu’ils ont fait !...Car le passé n’éponge rien à la vicissitude. 
On juge les hommes aussi parce que leurs idées les ont mené au pire !. 
D’autres parce que leurs absences d’idées les ont mené aux pires actions !. 

Céline faisant partie de ceux qui ont influencé les autres au pire. Je me souviens qu’il disait quelque chose comme ça : « Pour écrire j’ai du accrocher ma peau à un porte manteau ! »...
Un peu excessif, mais beaucoup plus vrai au sujet de la peau des autres, à partir des années 30. S’il y a la métaphore du colibri, lumineuse, de Pierre Rabit, il y a aussi celle qu’on pourrait appeler « la métaphore du vautour »..Et c’est faire fort mauvaise publicité à cet oiseau de proie, qui a tout de même sa place écologique dans la nature, que de le comparer au Celine des bagatelles. 
Tout sauf une bagatelle...

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