greenwasher greenwasher 15 février 2017 23:17
Les enfants virginaux, pris en otages ostensibles en tant que boucliers sanctifiés aux salaces turpitudes urbanistiques de la gauche perverse, sont comme les parasols de Paris Plage : une vaste escroquerie communicatoire à base de symboles arbolesques qui cachent la forêt dévastée, apogée du cynisme satanique vert rose rouge.

Encore une opé de com bisounours pour masquer les discriminations et les persécutions systémiques infligées aux mobilités douces, dont les enfants joueurs et leurs parents sportifs, dont les plus vulnérables comme les PMR à juste raison cités par un forumeur, par des choix de voirie (pavée, chaotique et alcoolisée) aussi lucratifs que dévoyés, opérés par cette mairie anti humaniste sans morale ni scrupules.

Des milliers d’usagers jeunes et moins jeunes, de feu Paris Respire entre autres, ont été ces dernières années, blessés, stressés, ruinés, écoeurés, bannis par les aménagements urbains anti sens commun, inappropriés, dangereux et rédhibitoires, facteurs de mort et de décadence de la cité, voulus en conscience par Delanoé-Hidalgo.

Pour maquiller ce scandale aux relents de gabegie invraisemblable profitant à certaines bourses et rétrocommissionnaires encartés, ces derniers n’ont rien trouvé de mieux que d’attirer le chaland innocent via des aires de jeux minables, pour la photo sacrée et le communiqué de presse fleur bleue.

Autant les passants et extérieurs passifs n’y voient que du feu, autant les habitants actifs comprennent le subterfuge mesquin, à leurs dépens, dans leur chair et leur porte monnaie, et... s’en vont. La route est ainsi dégagée pour les deux mamelles de la tromperie en bandes organisées : articles de presse fumeux et propagande de carte postale niveau zéro.

Du même acabit que le piège des happy meals chez Mc Donalds, ou comment valoriser la mairde par inversion des valeurs, ou requalifier un vrai enfer de fond en faux paradis pour la forme.

La politique reste plus que jamais un jeu malsain d’apparences et d’hypocrites. D’où la fracture grandissante, et catastrophique, d’avec la réalité.

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