se fermer à « l’autre », se replier en des frontières rassurantes, sous un drapeau, et que je marche au pas vers l’oriflamme, en braillant des « je suis chez moi ! ».

Les frontières ne sont pas des murs, mais des filtres. N’entrent que ce que j’accepte, que ce soient les personnes, les entreprises, les biens, les capitaux etc.

Il n’y a là aucune fermeture à « l’autre », mais le souci de ma propre liberté, de mon mode de vie et de ma culture. « l’autre » est bienvenu si il me respecte et ne veut rien m’imposer que je ne veuille pas. Sinon qu’il reste de l’autre coté de la frontière. Je me passerai de sa compagnie.