@Alren
Je me permets ce ton parce que je sais aussi être sérieux. Bien que la forme soit délétère le fond n’en est pas moins abouti.
Pourquoi serait-il nécessaire d’inscrire dans la constitution ce que chacun peut décider en son âme et conscience ?
Et puis il y a aussi le cas à l’autre bout de la chaîne de reproduction. Qui décide qu’un humain en gestation puisse être sacrifié sur l’autel monétaire ? Lui-même ?
Je m’oppose frontalement à la mise en constitution de ces principes de mort.