Pour Sédillot, la Révolution française a, au nom de l’égalité, enrichi les riches et appauvri les pauvres. René Sédillot expose ses thèses sur la Révolution française lors de cette conférence filmée :
http://vimeo.com/13009736Le livre «
56 : L’État français complice de groupes criminels » de Jean-Loup IZAMBERT, est analysé sur le site « Eurasie Express ». Frédéric Saillot, l’un de ses rédacteurs, s’est penché sur
le livre de Jean-Loup Izambert, « 56 ».
Extrait :
(…) A ces obscures questions, le dernier ouvrage de Jean-Loup Izambert apporte des réponses et une lumière crue. Intitulé « 56, l’Etat français complice de groupes criminels », ce premier tome constitue une longue enquête minutieuse et un réquisitoire sans appel : « A la tête de l’Etat, de François Mitterrand à François Hollande, 56 ministres de l’Intérieur, de la Justice, de la Défense et hauts-fonctionnaires sont impliqués, de manière active ou passive, dans la protection et/ou le soutien continu à des individus liés à des groupes criminels ». Autrement dit un système opaque, tenu par une loi du silence, un Etat profond engageant la nation dans de surprenantes décisions auxquelles elle n’a pas voix. Et ces groupes criminels sont intimement liés au développement du terrorisme islamiste international dont la colonne vertébrale est constituée par les Frères musulmans. (…)
La France, vaincue et conquise par l’Allemagne hitlérienne en mai 1940 vient de subir cinq années d’occupation nazie.
Or cette occupation n’avait pas que le caractère spectaculairement bestial des hordes de soldats allemands soumettant les Français, pillant et versant le sang. L’occupation allemande de la France fut aussi un formidable champ d’exécution du nazisme monétaire externe.
Conçu par Herman GOERING, ministre de l’économie de Hitler, et appliqué aux territoires conquis par les troupes allemandes, le nazisme monétaire externe allemand n’avait que deux objectifs : soumettre et piller. Parce qu’elle était, et de loin, le plus gros des territoires conquis par l’Allemagne, la France a subi le nazisme monétaire allemand avec beaucoup plus de rigueur que les autres territoires eux aussi conquis par l’Allemagne, par exemple la Belgique et la Pologne.
Curieusement, alors qu’il existe des tonnes de livres, de mémoires, de thèses de doctorats et d’articles sur l’occupation nazie de la France, et que chaque année apporte de nouvelles publications sur le sujet, il n’existe quasiment rien sur le nazisme monétaire infligé par les Allemands aux Français. Pourquoi ?
La grande surprise ici, c’est le silence des Français, de leurs historiens et de leurs universitaires, d’habitude si diserts, sur ce qui est sans doute l’épisode le plus saignant de l’histoire contemporaine de leur pays.
Les 6,2 millions d’euros dont bénéficient les anciens présidents Français sont une forme de prime annuel
pour leur silence sur le Franc CFA, dont on ne prend la vraie dimension hautement criminelle que lorsqu’on accède à la fonction de président de la république de France.