Clark Kent Jeussey de Sourcesûre 9 mars 2017 09:09

Quand il était candidat à l’élection présidentielle américaine, Donald Trump aimait bien Julian Assange. Il disait même : « J’adore Wikileaks ! »

Eh bien, il n’aime plus du tout ce genre de procédé et a fait savoir par son porte parole Sean Spicer que les histoires de Killary et les iPhones, c’était pas pareil  : « Il y a une différence majeure entre ces deux affairesDans un cas, c’était des courriers personnels, dans l’autre des documents classifiés. »
C’est un peu comme pour les révélations sur les candidats à la présidentielle en France : les fuites sont administrées au compte-gouttes, là où il faut, quand il faut, mais pour le compte de quel commanditaire.

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe