sleeping-zombie 13 mars 2017 10:18

Le second ouvrier, payé avec le second franc, réalise une œuvre nouvelle.

Ca, c’est l’exemple qui marche : le capitaliste vertueux qui ré-investit l’intégralité de son bénéfice...

Qui s’oppose au capitaliste français de la fin du 20eme siècle, lequel utilise sont bénéfice pour :
-s’assurer l’exclusivité d’un bien en le rendant inabordable
-faire exploser le prix (arbitraire) de l’immobilier pour créer une muraille (d’argent certes, mais muraille néanmoins) entre lui et son dernier ouvrier
-entretenir une armée de policier/comptables/agents-administratif qui ne créent aucune richesse globale, mais dont la seule fonction est de s’assurer que personne ne franchit cette muraille.

(et du coup, il pleure face au capitaliste allemand qui n’a pas encore trop pris le même chemin)

Si Bastiat était vivant de nos jours, il n’écrirait certainement pas la même chose...


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