Hervé Hum Hervé Hum 20 mars 2017 09:18

@lermontov

Ce n’est pas ce que j’écris, mais là, il s’agit de ne pas vivre au pays des sadoks.

Je vais l’écrire autrement.

SI un commercial vient chez toi pour te vendre un produit dont il te vante les mérites, qu’il te convainc d’acheter et qu’après coup, tu réalise qu’il t’a ment. Que le produit ne tient pas ses promesses et qu’en plus, il contient des vices cachés. Considèreras tu que comme tu as signé, tu dois respecter l’acte d’achat et payer le crédit qu’il t’aura fais prendre sur 20 ans ?

Eh bien, cher lermontov, si tu répond oui, alors, tu suit la raison, mais si tu répond non, alors tu ne la suit pas.

Ceci étant dit, en droit, la loi dit qu’il s’agit de ce qu’on appelle un abus de confiance et pour le cas des traités internationaux tel que le CETA, un abus de faiblesse et donc, une escroquerie. Autrement dit, un acte crapuleux, punit par la loi. La contrainte ici, concerne le représentant qui doit respecter le mandat qui lui est donné en défendant l’intérêt général de tous les citoyens et non de la seule minorité propriétaire de l’économie. Ainsi, il suffit de prouver que les représentants on trahit la confiance (c’est ici qu’elle est en premier lieu et conditionne le reste) des mandataires ou électeurs, pour pouvoir annuler le traité signés à l’insu des citoyens parce que contre leur gré et contre leur intérêts. D’ailleurs, ce qui est vrai pour la France est alors aussi vrai pour tous les autres pays.

Et si JLM se garde bien d’en parler, c’est qu’il sait très bien qu’alors, il serait l’ennemi politique numéro un à abattre ! Ce qui explique qu’aucune personnalité politique ne s’avise à soulever la chose...


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