LionBlanc EtincelledeMer 20 mars 2017 11:15

« Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs, des traîtres, n’est pas victime, il est complice. »
G.Orwell

Interview de T.Meyssan sur son dernier livre :

http://www.voltairenet.org/article195657.html

Les politiques ne sont que l’émanation du peuple, la projection de ce qu’ils ne veulent pas voir, accepter, en eux.
Suivant le principe des foules, les dirigeants font office de « bouc émissaire » pour permettre qu’un ensemble de cohésion perdure dans la société.
Cela garantit à chaque dirigeant la continuation de sa situation privilégiée, et contre une éventuelle révolte des peuples.

Ces mêmes peuples étant, eux, garantis de faire partie des « gens bien » et en s’identifiant entre eux, en tant que tel, se soudent et continuent à entretenir les dirigeants.

Tant que chacun n’acceptera pas sa « part sombre » et n’abandonnera pas l’idéal de lui même (seul moyen actuel pour beaucoup trop, de faire, au moins un peu, semblant de s’aimer un peu), il y aura des crises, des guerres et des périodes d’excès et d’hypocrisie.

Les cycles se suivront inlassablement jusqu’à ce que l’humain ai réussi à s’anéantir lui même, d’une manière ou d’une autre.

Ce fut pour cette raison que je m’étais inscrite ici, jadis, pour alerter, et le répète en forme d’épanadiplose : soit on évolue à la fois spirituellement et psychologiquement, soit on disparaît.

Pour l’Occident, désormais, il est déjà trop tard pour une éventuelle évolution, en tout cas, en gardant la situation en l’état.

Quelle que soit la personne qui sera élue en mai, il ne s’agira pour personne d’un « joli mois de mai », tout le monde va souffrir à court ou moyen terme (il ne s’agit même plus de long terme, et même plus de conditionnel).

Bonne route à tous.


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