kalachnikov lermontov 28 mars 2017 14:27

@ Eric F

Pourquoi cela ne s’est pas fait ? Je recite l’article dont tu as mis le lien :

"En France, des voix s’élèvent malgré tout pour que la Grèce quitte la monnaie unique de façon concertée. "Nous devons l’aider à organiser sa sortie, sans drame« , estime Alain Juppé. »Il faut mettre la Grèce en congé de l’euro« , renchérit Valéry Giscard d’Estaing sur le site de L’Express. Un avis partagé par l’ancien ministre Jean-Pierre Chevènement, qui a préconisé un  »Grexit amical« , lundi sur Europe 1.

 »Athènes n’envisage absolument pas de quitter la monnaie unique."

De surcroît, dans le cas de la Grèce, il ne s’agissait pas vraiment de sortie de l’euro ( = que la Grèce retrouve sa souveraineté monétaire) mais qu’elle coexiste avec la zone euro dans une sorte de sas (sans souveraineté, voir le mécanisme proposé par Chevènement ; une sorte de quarantaine mais toujours sous l’oeil et la volonté du docteur Bce).

En fait, c’est hypothétiquement possible ainsi : de façon concertée, que toutes les parties en aient mutuellement le désir et l’interêt, et en cas de crise affectant le Marché dont on serait la cause (ie la sortie mettrait fin à la crise). Et c’est en ultime recours, après imposition de divers remèdes.
Le cas du divorce n’a pas du tout été considéré sauf via l’article 50.


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