Onecinikiou 27 mars 2017 16:03

Ce qu’Uleski nomme de « risque » représente un immense espoir (peut-être le seul en cette période troublée) pour une majorité encore relative de Français, soit des millions d’entre eux. 


Uleski, s’il était en cohérence avec ses propres présupposés, et devant le danger objectif que représente la candidature Macron, pitoyable agent de l’oligarchie financiaro-bancaire euro-mondialiste qui promet d’achever la mise en coupe réglée du pays et la dissolution de la population sous le coup de l’immigrationnisme tiers-mondiste, devrait logiquement soutenir au second tour le mot d’ordre « Tout sauf Macron » fusse-t-il au profit du diable de confort médiatique caractérisé par la candidate du Front National !

Il devrait comprendre que la diabolisation n’est pas un choix ou une option politique consciemment décidé par le parti ou les hommes qui en sont les victimes ou l’objet (qui est une insondable ineptie), mais le passage obligé de toute dissidence véritable au nouvel ordre mondial, et que l’on ne peut donc s’en affranchir. 

Bien au contraire : cette diabolisation est un brevet de vertu, un aveu coupable de la part des ploutocrates et les mass-médias sous leur contrôle permettant de distinguer les vrais opposants, crédibles et cohérents et donc dangereux pour les intérêts du système de domination, des tartuffes dont le positionnement politique ubuesque d’Uleski témoigne qu’il en est un illustre représentant. 

Uleski, comme beaucoup de ses coreligionnaires soixante-huitard qui ont contribué à détruire tout ce qui fonde ce pays et jusqu’à l’intégrité de son peuple, est pétri de contradictions gauchistes insolubles qui l’empêchent de retirer ses oeillères et révolutionner ses grilles de lecture. Victime volontaire du conditionnement mental opéré par la superstructure médiatico-politique et son vecteur de propagation qu’est l’idéologie dominante et qui a visé méthodiquement à disqualifier, délégitimer, discréditer, criminaliser même les idées patriotes, souverainistes, et le simple bon sens populaire.

Pour cette raison il est prévisible qu’Uleski appellera, comme Mélenchon, Hamon, Jadot - ou BHL - à faire barrage à la « bête immonde » fusse au prix de leur ignoble ralliement au pire du pire d’une gouvernance globale cauchemardesque et ô combien contraire aux intérêts les plus immédiats et fondamentaux de l’écrasante majorité du peuple !

C’est la caractérisation même, pour tous ceux-là, du traitre en politique. 

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