@baleti
« Ne serais ce pas, nous, les lecteurs qui nous nous reconnaitrions, dans cette lourdeur ? »
C’est difficile à dire. C’est un don, la légèreté. Chez Céline, elle va peut-être de pair avec son hypersensibilité. Allez savoir
On a plus de facilité à détecter la lourdeur que la légèreté, y compris pour nous-mêmes. Mais je n’ai pas un problème existentiel avec ça.
Dommage quand même qu’il ne nous ait pas légué deux ou trois vers, qu’il a trouvé bons, parmi les milliers qu’il dit avoir lus. On y verrait plus clair. Et on pourrait comparer avec les vers lourds entre lesquels les légers sont inévitablement « coincés ».