Il demeurera donc des questions. Comment se fait-il par exemple que le
service informatique du ministère de l’économie d’une des premières
puissances mondiales et la DGSI ne soient pas parvenus à stopper
l’acharnement sur un ministre, par mails et pendant plusieurs mois,
d’une étudiante de 29 ans ? N’auraient-ils pas été sollicités ? Parce
qu’en réalité un simple « clic » aurait suffi ? Impossible à effectuer ?
Et pour quelle raison ?
... sérieusement ? vous croyez que quand vous envoyez un mail à ministre.finance.gouv.fr (ou quelque soit l’adresse en question), c’est le ministre qui vous lit ?
La vrai question, c’est « pourquoi quand les néons du plafonnier du chef se mettent à clignoter, ils sont changés dans la demi-heure, tandis que quand c’est dans le bureau d’une petite main, ça peut prendre des semaines ? ».
Mais, là encore, c’est une juste une question rhétorique.