Taverne Taverne 22 avril 2017 15:45

Quand le capitalisme a trop de ratés, il a recours au fascisme. Ce n’est pas moi qui l’affirme, c’est Bertolt Brecht, qui a vécu cette période sombre... :

« Il n’est pas rare d’entendre dire que le fascisme serait supportable à condition qu’il demeure pacifique. Voilà une idée qui ne témoigne pas d’une particulière intelligence. » (…) « C’est tout-à-fait comme l’engraissage des porcs… » Mais, dit l’autre, il finit par se produire un « petit incident ». « La guerre » précise l’autre.

« Si le capitalisme avait pu marcher sans le fascisme, il n’y aurait pas eu de fascisme. »

(extraits de « Dialogues d’exilés »)

Nous voilà alertés.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe