velosolex velosolex 26 avril 2017 16:58

L’aritcle m’ a attiré car je n’ai vu ni les noms de Macron, de Méluche et des autres, qui nous mettent en garde contre l’apocalypse .Vieille chanson, les bulletins de vote se ramassent à la pelle, faut il que je m’en souvienne, le pire venait toujours après l’élection, et surtout la pèriode dite « de grâce ». ;;Ah la grâce...Ah le voyage, partir ! « Natanael je t’apprendrai l’extase ! »...

.Pendant quelques années je me suis lancé sur les traces de tambourine man, et il faut bien dire qu’il m’accompagne toujours, tant les rencontres et les expériences qu’on fait à l’age tendre continuent à nous hanter ; 
Remarquons que ce couple ne fait pas trop authentique, je me souviens qu’à l’époque on ne prenait pas de douche tous les jours. La route est un accélérateur de vie, un révélateur de connerie, la sienne, celles des autres. Finalement une sorte de service militaire, mais sans adjudant, sans ordre, sans rata...Ainsi certains vivraient sur le pays, cachant sans doute dans une ceinture une master card. ...Voilà longtemps que j’ai renoncé aux pays du bout du monde : Une rencontre impossible, la disparition de l’enchantement au dixième touriste qui passe, au dixième bakchich. Les choses ne se sont pas arrangés au pays du désenchantement, des même routes balisées. Peut être que je me fais vieux. Je relis Thoreau, walden dans les bois, et puis les clochards celestes de kerouac...Les chemins noirs de tesson dernièrement m’ont bien plu. Voilà, c’est le regard que l’on pose, l’oublie de sa vanité, qui sont importantes, tenter de passer inaperçu. Et Gide qui me revient, avec ses histoires d’extase. 

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