abcd 6 mai 2017 20:52

Pour le prochain article je vous conseille de parler des réformes « courageuses » (surtout pour les autres, rarement pour celui qui ce croit courageux) sur le marché du travail et bien sur de partir de Monti (et non pas shruder) pour observer que la dévaluation interne (c’est votre trip à la BCE) ne marche que si on est le premier et conduit globalement à une castration de la demande, ce qui conduit à une économie récessive.
Pour ceux qui aime Macaron regarder les conséquences des réformes du marché du travail et des retraites en Italie (ouais je sais c’est dur y à plus de 2 pays en Europe et les mêmes « politiques » n’ont pas les mêmes conséquences dans l’espace et dans le temps, si un jour Minc le comprend jouez, ce jour là, au loto) et vous comprendrez peut-être que les « réformes » (le néo-féodalisme) détruisent plus vite l’économie que la dette (sérieux mais que fait la police, on nous aurait menti à l’insu de notre plein grès). L’Italie est surement le point de rupture de la zone Euro (enfin d’ici à ce que l’auteur de ce billet confronte ses dogmes au réel...)
Coluche disait :« les technocrates c’est la nouvelle race de fainéant, on leurs donneraient le Sahara en 2 ans ils iraient chercher du sable ailleurs », l’Europe était assez riche en Agriculture (bah on importe de plus en plus), Industrie (Attali est content qu’on sacrifié les Hauts Fourneaux dernière capacité à faire de l’acier en Europe), même l’Italie avait conservé du textile il y a quelques années.
L’Europe était riche ; grâce aux technocrates comme l’auteur de ce billet elle va devenir pauvre.
L’Espagne (comme le Portugal) était riche à l’époqie des conquistadors, puis elle a dormi sur son tas d’or et n’a jamais repris cette place depuis.
Dormez bien les technocrates, dormez bien, contentez vous des services, produire pour équilibrer sa balance c’est trop de travail pour un technocrate.


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