Alren Alren 2 mai 2017 12:00

Bonne analyse mais qui occulte le fait que l’UE n’empêche pas une meilleure répartition de l’impôt direct selon les revenus.

Or c’est principalement parce que les riches ne paient pas légalement assez d’impôts ( cinq tranches seulement) et peuvent pour le plupart frauder massivement du fait du faible nombre d’enquêteurs des impôts, que le budget de l’État est en déficit et qu’il doit emprunter pour maintenir assez de services publics afin d’éviter une immense révolte populaire. Laquelle se traduirait par une révolution par les urnes amplifiant le succès de la FI.

Cette situation est une volonté des gouvernements depuis Pompidou, le banquier, qui a fait passer une loi Giscard en 1973 interdisant à la Banque de France de prêter directement à l’État. C’était bien avant les traités européens et aucun gouvernement « socialiste » n’a envisagé de l’abroger !

Le mécanisme catastrophique était déjà en place avant d’être conforté par les règlements de l’UE.

Mais naturellement, ce système ne peut durer éternellement, que ce soit en France comme dans une majorité de pays d’Europe et aux USA, bien qu’il soit sauvegardé provisoirement avec l’émission de monnaie sans rapport avec les richesses produites. Lequel est accaparé par ceux qui ont déjà trop d’argent au détriment des besoins de l’activité réelle. On reproduit ici le système de Law ou des assignats avec banqueroute inévitable, programmée.

La même politique d’expédients avait été suivie avant 1789, avec des privilégiés vivant au-dessus des moyens du pays. On connaît son résultat ...

Macron veut amplifier ce mécanisme en supprimant l’ISF sur les avoirs financiers des super-riches.

VOTONS ACTIVEMENT ANTI-MACRON !

C’est notre ennemi le plus puissant potentiellement.


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