Vous n’avez pas répondu lorsque j’ai cité Mme Le Pen... un élément issu de son propre discours, qu’elle voulait pourtant de séduction, puisque c’est avant tout ça la télévision, cher Luc-Laurent Salvador.

Deux mots sur la réalité que vous niez. Je vois ici et ailleurs des idéologies en marche. Les électeurs de votre égérie, savez-vous ce qu’ils disent, quand ils ne jouent pas au plus malin ? « Vivement une bonne guerre », « Marre des bougnoules », « Faut tout péter, après on verra », etc. Parce que le FN a une inscription historique dans ce pays. Une réalité est emportée quand un pouvoir la dynamise. Jolis principes, jolie représentativité, jolis débats qui gangrènent déjà le pays depuis longtemps. Vous croyez que je vis dans un salon de thé peut-être ?

Allez, débattez avec moi... Allez sur le fond, interrogez-vous honnêtement, mettez vos jeux de mots fléchés de côté. Parlez-moi de votre lecture personnelle de Mr Laborit par exemple, de la nature d’une idéologie... Le débat n’est pas qu’autorisé en zone de confort !