C’est quand même extraordinaire ! Quand les gauchos anti nucléaires balancent n’importe quel mensonge, c’est bien, c’est l’expression « démocratique ». Quand on essaie par des faits et des données scientifiques, fruits d’années d’efforts continus, de rétablir un minimum de vérités, c’est qu’on « pontifie ». Ce qui prévaut dans cette attitude, c’est la haine du savoir, savamment instillée par les franc-maçons qui tirent les ficelles de l’EN. Notre société est vraiment très malade.

Je ne suis pas nucléophile. Je souhaite que le nucléaire soit un jour remplacé par la seule énergie d’avenir, la fusion contrôlée (et certainement pas les éoliennes qui sont une catastrophe environnementale). En attendant, le nucléaire français est un trésor de la nation, fruit d’un travail initié par le CNR à la libération, et je refuse que ce trésor soit dilapidé pour des raisons de politique politicienne. Ceux qui sont pour cette destruction et se prétendent insoumis sont des menteurs, car ils font le jeu du Reich.

Je connais bien JP Petit et j’ai failli travailler avec lui. Son merveilleux livre Hydrodynamique Physique a été pour moi un ouvrage de référence dans certains de mes travaux. C’était un livre de physique réelle, ce qu’il pratiquait à l’époque.

Je me suis confronté à lui sur ce site car je défendais le projet ITER, que lui attaquait. Mais lui, contrairement à vous, m’a répondu avec des arguments techniques et avec beaucoup de respect.

Je ne crois pas, malheureusement, que Monsieur Petit soit humble actuellement. Il a abandonné son talent et sa rigueur de scientifique pour être une star des gauchos anti-nucléaires. J’en suis triste et je mets ça sur le compte de la vieillesse et de la peur de la solitude. Il y en a d’autres, comme ce pauvre Jean-Marie Brome, de Strasbourg, physicien des particules, dont le but dans la vie est de détruire Fessenheim.

Si ces gens ne disaient pas ce qu’il faut pour vous caresser dans le sens du poil, ils seraient taxés de types « pontifiants qui tiennent un discours de patron ».

Moi, je leur dis, Monsieur Petit, Monsieur Brome, rejoignez les rangs des scientifiques. Vous ne serez plus adulés par les foules mais vous appartiendrez à une communauté vieille de plusieurs millénaires.