Marignan Marignan 19 mai 2017 10:41

Encore un technocrate parachuté à la tête de grandes firmes sans avoir jamais vécu de l’intérieur (aux échelons opérationnels et avec une rémunération qui permet de mesurer le coût de la vie) ce qu’est une entreprise ; davantage doué comme tant d’autres avant lui (Messier par exemple) à créer des problèmes là où il n’y en a pas et à se carapater dès lors qu’il s’agit de penser des solutions.

A comprendre, dans une fusion-acquisition de cette sorte, ce qui est visé, ce n’est pas un projet industriel ou commercial stratégique, c’est l’opération financière elle-même parce qu’elle génère des profits (pris sur la bête) par la banque qui réalise l’opération et par les dirigeants-actionnaires qui touchent sur le rapprochement. Recherchez par ailleurs qui est l’heureux actionnaire qui s’est débarrassé de Darty sur le dos de la dette du repreneur (dette soumise à intérêts payés aux banques) et vous aurez (presque tout) compris.

Générer ce genre d’opérations destructrices d’emplois c’était le job grâce auquel notre nouveau président s’est bâti une fortune. C’était, enfin, c’est encore, mais maintenant à une échelle décuplée puisque M. Macron semble être en charge maintenant de la fusion-acquisition de la France par les multinationales qui dirigent l’UE et ses institutions.


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