emmanuel muller emmanuel muller 1er juin 2017 09:40

@epicure

Et les réponses n’ont de sens que dans une logique politique, car toute réponse n’est qu’un choix. Ces choix peuvent impacter la vie des citoyens en bien ou en mal.
Sans logique, qui implique des buts et des moyens , il n’y a théoriquement pas de bonne solution.

Est-ce qu’on en est bien certain de ça ?
C’est l’objection logique a mon propos, merci pour cette bonne lecture.

La réponse est dans la partie sur la théorie, sous l’image.

1- Réflexion sur les solution hors partis, par sujet
2- Montage des briques compatibles entre elles dans les partis
3- On ajuste et on recommence, au 1, encore et encore.

En fait la politique se ferait ENTRE les deux, ENTRE les avis par sujets et les partis.
Aujourd’hui elle se fait dans les partis par sujet, on ne réfléchis que dans les chapelles.

Donc je reprend votre exemple pour répondre avec :

_ Clivage fort sur l’europe entre Hamon et Mélenchon, oui.
_ Des éléments peuvent ne pas avoir de sens placé dans un programmes d’ensemble, oui.

(Cohérent ou pas c’est hors sujet pour moi. J’évite le politicien pour rester à l’échelle de la mécanique générale de la politique.)

Par contre la question sur l’Europe est un bon exemple : est-ce que les positions technique de chaque ne peuvent pas créer des mouvements rien que sur cette question ?

_ Une partie bras de fer, genre refus de soumission et rapport de force (tendance mélenchon)
_ Une partie évolution par l’intérieur vers un parlement économique (tendance hamon)

C’est trop schématique dis comme ça, mais l’important c’est que des mouvements de pensés sur l’europe pourraient se faire par « parties », et ce qui est opposable ou pas pourrait faire jour AVANT que tel ou tel position devienne l’engrenage de tel ou tel programme globale.

Moi je pense que si l’idée de l’Europe avait été traité en amont il n’y aurait que 2 courant : les pro réforme, et les pro sortie.
Mélenchon parlait menace de sortie pour obtenir la réforme.
Si le mouvement « phy » avait du choisir, le mode de réforme aurait été un sujet politique préalable.

Vous imaginez ... un grand débat hors période électorale avec le sujet de la réforme de l’Europe traité directement, avec des chapelles, des sondages, des mouvement d’opinions, et les partis qui s’y adapteraient ensuite en vue des élections ...

Moi j’imagine ça comme un système politiques des idées.
Infiniment plus adapté au élections parlementaires, soit dit en passant, puisque les singularité de chaque élus serait incarné par des briques de pensée connues.


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