
@Nicole Cheverney
Dans le mille, ! Vous remarquez donc bien ce que je voulais souligner en rappelant les mots d’Agoravox :
’, sans qu’aucune loi ou institution ne les limite.’
Ainsi, le qualificatif de dictature ne dépendrait donc que de la capacité effective des lois ou institutions à limiter les abus du Pouvoir !
Le bogue n’est alors pas seulement conjoncturel mais ontologique ( Il n’appelle pas seulement à réécrire quelque lignes de code ... mais à refondre toute l’architecture du logiciel incriminé !)
Car, si le dysfonctionnement vient du système qui pond les lois
comment imaginer que ce système puisse se corriger ou se refonder lui-même ?
Nous avons à faire à bien plus grave qu’un simple talon d’Achille ! - nous devons reconnaître que les fondements architecturaux eux-mêmes sont foireux !
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Une piste constructive envisageable , tout de même ?
- ben oui ! Tout le vivant n’a pas tant perduré par le ’mérite’ de ses chefs, que par les capacités, à tout niveau de complexité, a entretenir des mécanismes d’auto-correction en toute ’humilité’ inconsciente d’elle-même .
Or la vraie démocratie ne peut être avant tout que le fruit d’une telle humilité
>>> cahiers de doléances co-inventés/réalsés par tout le peuple !
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