Philippe VERGNES 5 juillet 2017 22:47

@ kalachnikov,


Et donc... ben je reprendrais ici l’explication de PIPO présentée ci-dessus : « Faire comprendre l’amour à un tordu c’est comme tenter de faire comprendre les couleurs à un daltonien. C’est une émotion liée à l’empathie, vous en avez ou pas (ou peu). »

A ce propos, puisque vous aimez me donner de la lecture à lire, commencer donc par lire la série des trois articles que j’ai rédigée sur ce site et ailleurs au sujet de l’empathie et de la conscience morale. Cela vous apprendra peut-être des choses, mais j’ai bien peur que ce soit sans espoir.

La conscience morale, parlons-en justement, le fait même d’user de techniques que vous exécrez par ailleurs démontre que vous n’en avez guère (ou pas du tout). C’est commun à tous les pervers (qui soit dit en passant ignorent qu’ils sont pervers puisque pour eux, les pervers : c’est les autres). Cependant, il y a une façon assez simple de confondre un pervers : c’est celui qui déni les interdits fondamentaux de la double différence des sexes et des générations et qui n’intègre pas les tabous de l’inceste et du meurtre, qui sous-entendent ceux du cannibalisme et du vampirisme psychique.

Voilà : Fin des débats ! Il n’y a plus rien à en dire.

(Si en fait, j’allais oublié : les « tordus »... ben c’est le fond du mythe d’Œdipe - étymologie « pied enflée » - qui donne une démarche « tordue », dans la lignée de son père Laïos et de son grand-père Labdacos dont l’étymologie se rapporte tous à une démarche boiteuse. Il n’y a pas de hasard. Et tout le mythe symbolise le pouvoir « boiteux » d’une lignée qui attire à elle et sur son peuple les plus grandes calamités de ce monde. Cette lignée, c’est celle des Labdacides dont le règne s’éteignit avec la mort d’Œdipe. C’est une parfaite métaphore de notre société contemporaine et du pouvoir que s’octroient nos élus. Tiens, j’y pense ! Vous me donnez une idée pour de prochains articles.)




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