Philippe VERGNES 10 juillet 2017 10:11

@ kalachnikov,


Je répond ici en espérant que vous saurez y faire, car lorsque le fil de discussion s’allonge et que les messages se croisent entre plusieurs intervenants, ben... ça devient vite difficile de suivre correctement.

Donc pour votre question me concernant... je dirais que si vous m’aviez écouté, vous connaîtriez déjà la réponse. Lorsque je dis que je me fous de Freud, ce n’est pas pour ensuite aller me réfugier dans les jupons de ses successeurs. Par contre, me foutre de Freud, ne signifie pas que je me fous de la psychanalyse pour les raisons plusieurs évoquées : la psychanalyse a infiltré notre culture a un point tel que personne n’a idée. Du coup, je l’étudie dans le seul but de trier le bon grain de l’ivraie et y’a du boulot, je puis vous le garantir. La réponse à votre question est donc NON, je n’ai jamais été analysé et ne souhaite absolument pas l’être par un psychanalyste défenseur de la cause freudienne. Et ce d’autant plus que mon article, qui soit-dit en passant est en train de faire un « tabac » parmi de nombreux psys à qui ont a jamais expliqué les différences entre inceste et Œdipe telles que je les explique ici, dénonce l’interprétation freudienne du mythe d’Œdipe.

Par contre, même si je vous remercie pour ENFIN m’avoir donné votre PROPRE opinion sur le sujet de l’inceste, je trouve votre réponse... comment dire... mécanique, dépourvue d’affects... froide. Vous connaissez le sens des mots, mais en ignorez la musique. J’ai l’impression d’avoir en face moi quelqu’un qui récite un texte appris par cœur sans y mettre les intonations nécessaires pour le rendre plus « poétique ». Comme un mauvais acteur qui jouerait une pièce de théâtre.

Ceci dit, je note que vous êtes totalement contre l’éducation sexuelle des enfants. Je m’en souviendrais, car cet article avait aussi pour objectif de servir de référence à un autre à venir qui portera justement sur l’éducation à la sexualité dès le plus jeune âge que, bien entendu, je dénoncerais au nom du sacro-saint complexe d’Œdipe tel que l’envisageait Freud. D’où la nécessité de lui régler son sort comme j’ai pu le faire dans cet article qui me servira de référence.

Même s’il y a beaucoup de chose qui m’interpelle dans vos réponses, je ne vais pas vous « titiller » plus longtemps. J’ai d’autres projets en cours.

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