Alren Alren 1er juillet 2017 17:19

@RougePomme

« Mais la crétinerie du marxiste vulgaire et crasse gogocho, c’est de ne pas comprendre que le Capital se fout du travail et de la production. »

Décidément votre vulgarité lassante et radoteuse n’a d’égale que votre ignorance des ressorts économiques et de la conscience qu’en ont les détenteurs du capital !!!

Quand le MEDEF parle de charge pour les salaires, c’est un langage de faux-cul dont vous êtes dupe.

Il sait très bien le MEDEF, malgré son discours destiné à égaré les esprits faibles, que la seule source de richesses et donc de revenus pour le capital c’est le travail et qu’en réalité c’est le capital qui est une charge, un parasite inutile pour une entreprise en fonctionnement.

Le capital n’est utile qu’à la création de l’entreprise quand elle ne peut acquérir le matériel, les locaux nécessaires pour démarrer la production. Grâce à lui, les entrepreneurs peuvent s’équiper. Sur le plan financier, c’est comparable à l’acquisition d’un bien immobilier ou de consommation.

Le problème est que si un emprunt immobilier, une fois remboursé, laisse l’acheteur propriétaire de son bien, l’avance de trésorerie consentie à l’entreprise naissante par le capital n’est pas remboursée par le travail, ce qui permet au capitaliste de rester propriétaire et de décider du montant de ses taux d’intérêts, c’est-à-dire de maximiser ses profits qui sont prélevés, bien entendu, sur le travail.

Dans une société intelligente, on permettrait aux travailleurs de l’entreprise de rembourser l’avance de trésorerie nécessaire à sa création et comme il s’agit de crédit, c’est-à-dire de confiance de ceux qui livrent l’équipement et les locaux, ce pourrait être une collectivité, l’état ou un groupement d’épargnants qui fourniraient le capital de départ pour être remboursé ensuite.

Mais voyons, cela existe déjà, ce sont les coopératives ouvrières, que le patronat essaie de couler de toutes les façons, tant il craint leur généralisation !

Et c’est aussi pour ça que le financement par des groupements de particuliers est interdit sous le fallacieux prétexte de protéger ceux-ci des faillites d’entreprises, en réalité pour que les entreprises restent sous la coupe de la rente parasite.

Ce verrou rigoureux sautera peut-être si les possesseurs de monnaie internet (type bitcoin) investissent dans l’industrie au sens large. Encore faut-il que les États reconnaissent le bitcoin comme un instrument de paiement égal à leurs propres monnaies. Et cette possibilité sera combattue violemment par les lobbies des banques et les capitalistes qui seraient ainsi hors-jeu.


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