C’est le juge qui décide. Le dossier d’expertise s’est basé sur des chiffres. Les chiffres, c’est froid, ça n’a aucun sentiment. Pour l’avocate, ce ne sont que les textes qui comptent. On ne regarde pas si le client a 32 dents ou aucune. On pourrait effectivement rendre la justice en fonction du coefficient de mastication. Ce serait une idée.