ung do 15 juillet 2017 15:12

D,’après Wikipedia le « héros » de la liberté a dit :

[En 1988, de passage à Hong Kong (à l’époque encore concession britannique), il déclare, dans un interview accordé au magazine hongkongais Liberation Monthly, que « s’il a fallu 100 ans de colonisation à Hong Kong pour être ce qu’elle est, alors il faut 300 ans de colonisation à la Chine pour devenir comme Hong Kong mais je ne suis pas sûr que 300 ans suffiraient » pour réaliser une véritable transformation historique Ces affirmations scandalisèrent certains membres des cercles pro-démocratie. Liu Xiaobo déclare aussi que « la modernisation est synonyme d’occidentalisation totale », que « choisir de vivre signifie choisir le mode de vie occidental. La différence entre le mode de gouvernement occidental et le mode de gouvernement chinois, c’est la même que celle entre l’humain et le non humain, il n’y a pas de compromis. L’occidentalisation est le choix non pas de la nation mais de la race humaine ».

Le sinologue Jean-Philippe Béja replace ces propos dans leur contexte de 1988. Les 20 dernières années du règne de Mao Zedong ont plongé la Chine dans une situation dramatique, et nombre de Chinois, même au sein du Parti communiste chinois, sont en extase devant la réussite de la colonie de Hong Kong avec sa liberté et sa prospérité. La culture traditionnelle et le « féodalisme » maoïste apparaissent comme les obstacles majeurs à la modernisation.

Bien que ces propos aient été utilisés contre lui par le gouvernement chinois, Liu indiqua en 2006 qu’il n’avait pas l’intention de les retirer.

Politique extérieure américaine

En 1996, dans un article intitulé « Leçons de la Guerre froide », il affirme que « le monde libre, sous la direction des États-Unis, a lutté contre tous les régimes qui foulent aux pieds les droits de l’homme. Les guerres importantes menées par le gouvernement américain sont, d’après Liu, défendables sur le plan éthique »

En 2004, il publie un article intitulé « Victory to the Anglo-American Freedom Alliance », où il qualifie les guerres menées par les États-Unis après la guerre froide, comme étant « le meilleur exemple de la façon dont les guerres doivent être menées dans une civilisation moderne » ; il prédit qu’« un Irak libre, démocratique et paisible va naître ».

Pendant l’élection présidentielle américaine de 2004, il félicita le président sortant, George Bush, de son effort de guerre en Irak et reprocha au candidat démocrate John Kerry de ne pas soutenir suffisamment les guerres américaines. Il déclara que « quelle que soit la gravité des risques encourus en abattant Saddam Hussein, l’inaction entraînerait des risques encore plus grands, comme le prouvent la seconde Guerre mondiale et le 11 septembre ! ». À ses yeux, « la guerre contre Saddam Hussein est juste, la décision du président Bush est la bonne ]

Pour Barry Sautman et Yan Hairong, Liu Xiaobo est « un néoconservateur et néolibéral façonné au moule des États-Unis », un apologiste non pas de la paix mais des guerres engagées par les États-Unis et leurs alliés

Liu n’ a jamais lu

La Chine en enfer : pillages et génocides blancs

http://www.dedefensa.org/article/la-chine-en-enfer-pillages-et-genocides-blancs

@ l’auteur , je vous suggère de rendre aussi hommage à d’autres héros , des enterrés vivants :

_ Léonard Peltier https://fr.wikipedia.org/wiki/Leonard_Peltier

_ Mumia Abdul Jamal https://fr.wikipedia.org/wiki/Mumia_Abu-Jamal

_ Ana Belen https://www.legrandsoir.info/ana-belen-montes-29272.html

et les vacanciers du Club Med de Cuba ( Guantanamo )


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