njama njama 14 juillet 2017 17:51

@sarcastelle

D. LAMBERT : « Avant de parler d’une balance bénéfice-risque, évaluons le risque à sa juste mesure »

 
(de 2’39 à 3’38) dans la VIDÉO :

« On parle de pharmaco-vigilance, de bénéfices-risques mais pour faire une vraie balance bénéfices-risques il faut que le risque soit évalué à sa juste mesure, et pour que ce risque soit évalué à sa juste mesure il faut que la pharmaco-vigilance fasse son travail, c’est à dire que les médecins fassent remonter les effets indésirables des patients. Mais pour qu’ils les fassent remonter il faut qu’ils les connaissent, or les symptômes qui sont liés à a myofasciite à macrophages c’est à dire des douleurs musculaires, articulaires, un épuisement chronique et des troubles cognitifs surviennent plusieurs mois, et souvent plusieurs années après l’injection. Pour qu’un médecin puisse faire le lien entre ces symptômes et une injection de vaccin qui a eu lieu plusieurs années avant, s’il n’a pas l’information il ne peut pas la faire. Ou s’il a une suspicion et qu’il se renseigne sur le site de l’agence du médicament il verra l’information contraire comme quoi il n’y a pas de lien. Donc la pharmacovigilance dont on nous parle, la balance bénéfices-risques dont on nous parle, pour l’instant c’est un peu de l’hypocrisie. »

Didier Lambert, président de l’association E3M, Association d’Entraide aux Malades de Myofasciite à Macrophages http://www.asso-e3m.fr/


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe