lisca lisca 10 août 2017 14:03

Je crois qu’il y a eu une tentative des commerçants de la belle fripe de faire de madame Trogneux (je crois qu’elle a choisi de ne pas s’appeler Macron, ce qui est à son honneur) une mannequin comme Kate la duchesse en Angleterre, épouse de William, belle-fille de la reine Elizabeth.
Chaque fois qu’elle porte quelque chose, les ventes de cette nippe explosent. Kate est donc tout le temps photographiée dans des tenues très seyantes.
En faisant une première dame de l’épouse du président, on la transforme par magie en une espèce de Kate qui rapporte.
Kate a un rôle également dans la diplomatie. Elle représente une GB telle que les Anglais la voudraient, et aide à obtenir des contrats en faisant des sourires, montrant sa mignonne progéniture et paradant de beaux chapeaux.
Vous avez donc très bien vu cette substitution du concept royal au républicain.
Sauf que noblesse oblige, le roi risque sa vie, et la noblesse n’a rien à voir avec le couple Macron. Ni peut-être d’ailleurs avec Kate, réduite à son rôle de porte-manteau de luxe, sans influence au niveau des grandes décisions.
Carla Sarkozy, que personne n’aimait ni ne respectait, a inauguré une sorte de plagiat de la fonction royale, ce qui lui a en effet permis de détourner l’argent des Français vers ses causes et ses amis. Mais quand on déteste un président, son épouse n’est pas aimée, et elle rendait bien ce désamoiur aux Français, qu’elle dénigrait carrément, et publiquement.
Trierweiler a voulu se comporter en première dame (assez vulgaire) mais a été licenciée du poste, Gayet a été imposée comme maîtresse officielle par son petit gros, et maintenant Brigitte est poussée artificiellement vers un statut dépensier, sans même qu’elle ait eu son mot à dire, apparemment, puisque c’est monsieur qui le veut.
Mais ça ne peut pas marcher ; l’histoire de dame Brigitte et sa relation avec ce bizarre Emmanuel ne passent pas dans l’opinion. L’élégance d’une dame de son âge doit être (pour l’opinion courante) celle d’une Marie-France Garaud, certainement pas celle d’une échappée des sixties. Et personne ne veut entretenir quatre secrétaires, plus une troupe de sous-fifres, en plus de cette petite personne aux allures effrayées dont on ignore (mais c’est une autre histoire) les relations réelles avec son second mari.
Elle fut la première de Macron, pour nous elle n’est donc que de seconde main.
Merci pour votre commentaire éclairant.


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