Cateaufoncel 3 août 2017 11:41

Pourquoi ne pas appeler un chat, un chat, et dire que la fameuse mixité sociale, est., en réalité, la mixité ethnique ?

 « Le Monde » du 29 juillet a mis les pieds dans le plats en découvrant non seulement que les Blancs existent, mais qu’en plus, ils ont des comportements collectifs.

L’un d’eux, en Europe comme en Amérique, s’appelle le White Flight, et il consiste à déménager dès que possible lorsqu’on se trouve plongé dans un environnement où l’élément non-Blanc prédomine.

Certains se souviennent peut-être de ses mères maghrébines et subsahariennes de Montpellier, déplorant la disparition des petits blonds et des petits rouquins des classes que fréquentent leurs enfants.

Pas tellement d’ailleurs par goût du multiculturalisme que pas crainte de se voir accorder des fonds de tiroir enseignants par l’Education nationale.

 Actuellement, le Grand Remplacement prend la forme d’une multiplication d’enclaves – le phénomène a commencé il y a plus de vingt ans – qui se déploient sur le territoire national comme les pierres sur un plateau de go.

Traitant du cas de Chanteloup-les-Vignes, « Le Monde » donne la parole à des témoins qui envoient valdinguer le politiquement correct et l’antiracisme bien loin des conventionnelles plates-bandes du quotidien vespéral :

 « Les populations précaires sont remplacées par des populations encore plus précaires, tempête Catherine Arenou, maire (Les Républicains, LR) de la ville. Nous recréons des poches de grande pauvreté avec de fortes concentrations ethniques. J’ai l’impression d’écoper la mer à la petite cuillère.  »

« On a pensé qu’en remettant trois fleurs et en cassant quelques immeubles, on arriverait à attirer des Blancs, mais c’est un vœu pieux », juge Catherine Arenou.

 « En réalité, depuis le début, ce qui est en jeu, c’est la mixité ethno-raciale, décrypte le sociologue Renaud Epstein. L’objectif n’est jamais affiché officiellement dans ces termes, car la loi l’interdit, mais c’est bien ainsi qu’il est formulé officieusement. »

« Arona Seck, 35 ans, coordinateur des médiateurs de Chanteloup-les-Vignes, ne prend pas plus de pincettes que la maire : « La rénovation urbaine ? Bah oui, ça veut dire faire venir des Blancs. C’est ce qui nous manque, c’est ce qui a disparu. »

« …les populations des grands ensembles regrettent beaucoup le départ de la population européenne qu’ils appellent les Blancs. » Yoan Miot, maître de conférences à l’école d’urbanisme de Paris

Après le retour de la race blanche, celui du clivage « nous » (populations des grands ensembles) « eux », (les Blancs).

Tous ceux qui savaient que la négation des « races » et l’antiracisme frénétique étaient des bombes à retardement, ne sont pas surpris par ce fiasco du politiquement correct. Et il y en aura d’autres, beaucoup d’autres. Sous le règne du bellâtre de l’Elysée.


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