@L’auteur.
Clap pour ton article.
« ...Finalement, le soft totalitarisme n’est pas seulement un projet économique de constitution d’un grand marché mondial, numérisé, familiarisé et aux mains d’une minorité savante et ultra fortunée, c’est aussi une utopie qui veut croire que la malédiction politique a été conjurée. La disparition des frontières, l’interdépendance et la communication constante, le divertissement permanent et planétaire, la standardisation et l’homogénéisation des modes de vie rendent la politique inutile et portent en germe un projet de gouvernement mondial »
c’est exactement ce que je dis depuis x temps sur A Vox
pour le reste idem j’hadhere.
 
sur cette partie ci
« Les auteurs notent également que le système actuel remet profondément en cause le modèle républicain français, ce sur quoi je reviendrai dans le prochain papier. »
 
Neamoins j’attire l’attention que un système « républicain »
« républicain » ne veut pas du tout dire démocratie (au veritable sens du terme), voir par exemple l’abbé seyès.
 
La démocratie c’est la gestion par le peupl direxctement (cad le nationalisme ou une de ses formes), et non ses représenants élus qui de plus sonts irrévocables et soumis au diktat européen.
 
nationalisme larousse

• Mouvement politique d’individus qui prennent conscience de former une communauté nationale en raison des liens (langue, culture) qui les unissent et qui peuvent vouloir se doter d’un État souverain.

 
Comme la Suisse en bref...qui est l’exemple le plus démocratique chez nos voisins proches.