eddofr eddofr 25 août 2017 10:19
Très cher auteur,

Excusez l’ignare Australopithèque que je suis, mais comme vous avez cité plusieurs artefacts, je souhaiterais quelque éclaircissement sur ceux-ci ou, à tout le moins, que vous confirmiez ou invalidiez mes hypothèse...

Ainsi donc, quoi être ça, un machin-phone, un truc-phone, un télé-phone ?

De par mon origine ethnique, je suis relativement féru de langues anciennes, de préférence morte (c’est moins dangereux) et je me doute donc que le le suffixe « phone » doit, d’une manière ou d’une autre référer à la « voix », d’autant que votre article cite, à plusieurs reprises ma copine « Décibel » (qui s’est récemment mariée avec Angus le jeune, un électricien) et qui est justement connue pour avoir un voix, sinon très belle, du moins qui porte haut.

Pour votre « télé-phone », j’imagine que c’est une sorte de « porte-voix hellénique » (très pratique pour appeler ma copine Décibel quand il y a foule).

Par contre, j’ai plus de mal avec le machin-phone ... Un générateur de voix ? Une machine à voix ? ... Serait-ce un chanteuse cybernétique ? Est-ce Maria Carey ?

Pour le truc-phone, l’hypothèse est plus audacieuse ...
Combinaison de la racine latine « trudicare » et de la racine grecque « phônê », j’imagine que cet appareil doit servir à pousser la voix, en multilingue, vers ou depuis l’étranger, ou seulement entre Rome et Athène ? ...Ou serait-ce simplement un traducteur ? Nelson Monfort ? Nikos Aliags ?

Merci d’avance,

P.S. LUCY vous passe le bonjour ... pas la Perle, maman ...

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe