Buzzcocks 12 septembre 2017 15:22

Des sociologues américains ont mené une expérience dans une entreprise où un manager homme signait ses mails avec un prénom féminin, et l’inverse, un manager femme signait ses mails avec un patronyme masculin.
Il a été rapidement prouvé que le pseudo féminin (qui était en fait un homme) se faisait rabrouer sans arrêt, peu prise au sérieux etc... alors que personne n’envoyait chier le pseudo masculin (qui était une femme).

En lisant les commentaires ici, on assiste à la même expérience. Sur agoravox, Michel Drouet publie un article sur les feignants de Macron, il n’y strictement personne qui le traite de crétin, ou de connard sans cervelle. Mais quand l’auteur traitant du même sujet devient une femme, ça envoie du lourd à son endroit.

L’humanité est quand même sacrement médiocre.


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