Les journaleux à la botte ont en effet tendance à confondre communication et masturbation exhibitionniste !
Les médias sont de plus en plus sujets à des crises de schizophrénie qui se traduisent par une propension à fonctionner en circuit fermé, à s’inviter entre eux et à parler d’eux. Hier j’ai entendu sur France Info une conversation entre la journaliste de cette radio et un dirigeant de VSD qu’elle avait invité pour parler de quoi ? De l’évolution de la presse !
Voilà : l’objet de la presse, c’est de prendre son pied en parlant d’elle-même et en s’envoyant des fleurs avec l’air d’être heureusement surprise quand elle les reçoit : « oh ! des fleurs ! Fallait pas ! Vous n’êtes pas raisonnable ! Un bisou quand même ! Merci : elles sont très belles ! »