Spartacus Lequidam Spartacus 16 septembre 2017 11:29

@carnac

Vous caricaturez la vie en Allemagne. Ce n’est certes pas parfait mais c’est bien mieux pour les précaires qu’en France. La précarité Française est la pire...
Ici elle est durable et toujours pour les mêmes...
Vous idéalisez un peu trop le système Français qui justement ne les intègre pas et bien pire par la longueur dans la situation pour les précaires qu’en Allemagne.
 
Les femmes en Allemagne ont largement plus de chance de trouver un Job qu’en France...Et même à Berlin, et Landers de l’Est les choses vont de mieux en mieux.

Vous indiquez les pays nord européens....La semaine dernière la Suède a abandonné l’emploi à vie des fonctionnaires, par réalisme....Comme quoi les clichés idéalisés ont la vie dure

Quoi que vous retourniez le problème dans tous les sens, les femmes sont plus susceptibles d’avoir de l’absentéisme que les hommes. Dans le secteur privé, et dans une société ou il y a plus de services que d’industrie, l’absentéisme dans les sociétés de service est plus préjudiciable que dans le monde révolu des sociétés de production d’il y 30 ans qui permettaient de lisser ce type de problèmes. Il est donc logique que les femmes soient plus précaires que les hommes sans que cela soit une généralité.
L’important est que l’assurance sociale ou la société absorbe la peur de l’inconnu qui caractérise le salariat trop Marxisé depuis l’enfance.

La « sécurité professionnelle » est un leurre, d’un shéma de pensée dépassé..
Vous demandez à l’entreprise d’être un assureur de parcourt de vie d’un salarié....

Votre demander le mariage à l’entreprise, alors que l’époque a changé et c’est l’union libre qui est la plus usité.
Non ! L’entreprise n’a pas comme métier d’être un assureur. Son métier est de faire des offres qui répondent à la demande du marché le mieux possible.

C’est l’acceptation du changement et l’assurance qu’il faut promouvoir, pas encore des contraintes sur des entreprises a qui vous voulez faire porter un fardeau qu’elles ne devraient pas à avoir.

Vous demandez à Macron de faire de la contrainte hors des contextes de marché et hors du principe de réalité....
En fait vous vous trompez sur la cible. L’entreprise comme le code du travail n’a pas a vous assurer une « sécurité professionnelle élargie ». 

C’est à l’assurance de prendre en charge ce genre de problématique...C’est l’assurance chômage qui doit prendre en charge la précarité. Pas la contrainte sur l’entreprise.

Les changements conjoncturels actuels sont bien plus rapides que par le passé.
Amazon il y a 10 ans, c’était juste des bouquins. Les « drives » n’ont que 5 ans. Le smartphone, il y a 7 ans vous n’en aviez pas. Avec Ryanair c’est moins cher d’aller à Barcelone que vous d’aller de Paris à Lyon. 
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En fait vous vous trompez de combat. Le code du travail n’a jamais protégé les précaires, ou les femmes. Il dissuade surtout d’embaucher et creuse la précarité. 

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