@Ruut
« Vaccin Oui mais uniquement si propre (...) »
Même pas...
La croyance en un quelconque « bienfait » apporté par la pratique
nommée vaccination disparaît à mesure que l’hygiène collective, la prise
en charge et les soins aux malades sont améliorés par les progrès de la
science.
Dans l’histoire de la médecine prophylactique, ce n’est
pas la première fois qu’un tel évènement se produit : rappelons-nous
entre autres les grands feux d’Hippocrate réputés purifier l’air et
prévenir les épidémies de peste, la thériaque d’Andromaque dont l’usage
préventif fut condamné par Avicenne au 10è siècle ce qui valut sa
disparition, et, plus proches de nous, les saignées, purges et autres
lavements, panacées aux 16è et 17è siècles mais disparues au début du
19è siècle.
Et puisque ce n’est pas la première fois qu’une telle disparition se produit, ce n’est pas non plus la dernière...