toma 5 octobre 2017 13:47

Je me permets aussi de lancer une idée aux prochains articles sur les vaccins. De plus en plus de preuves tombent pour anéantir les bienfaits des vaccins contre le pneumoccoques, la HPV et autres contre des virus et bactéries nombreuses.


Je m’explique, il y a dans le HPV 14 et HPV16 de 14 à 16 souches de verrues qui sont techniquement rendues impossible à attraper, grâce à ce vaccin. Premièrement, toutes ces verrues n’ont pas le même degré de dangerosité, certaines sont attrapées et ne provoquent jamais rien, la femme meurt d’autres chose que d’un cancer du col de l’utérus ou qqch du genre qui serait du au virus HPV. Hélas, mille fois hélas, on se rend compte que malgré les efforts du labo pour tenter de connaitre les variantes les plus agressives des souches de virus HPV, et les intégrer dans le vaccin.Les souches non incluses, sûrement plus de 30 sortes de souches de virus au total me semble-t-il dans le cas du HPV, ont tendance a se multiplier d’autant plus vite que désprmais, le champ est libre et que certaines qu’on pensait bénignes ou non dangereuses, auraient - soit été mal jugées,- soit ont mutés et- ou encore profitent d’un terrain vierge des 14 à 16 autres souches maintenant eradiquées....Au final, on se retrouve au mieux au point de départ et au pire, on peut se dire que les souches incluses dans le vaccin risquent aussi de muter, on se retrouvait au point de départ d’autant plusPire serait de voir de muter les souches incluses dans le vaccin. Tout cela serait bête, de faire un vaccin contre le HPV, d’en courir des risques d’effets secondaires, pour quand même choper des verrues, qui risquent d’être plus dangereuses que celles d’avant que notre corps connaissait, si pas toujours, assez souvent pour éviter à 98 % des femmes de développer une pathologie, qui souvent était soignable si diagnostiqué tôt, et de voir chez des jeunes filles apparaitre des cancers de l’utérus éclair. 

http://initiativecitoyenne.be/2017/09/vaccins-hpv-ils-peuvent-favoriser-le-cancer-du-col-de-l-uterus-par-substitution-des-souches.html

Pour le pneumoccoque ce serait pire, vu la rapidité et la facilité de la bactérie à muter et son nombre de variantes, là aussi, on favorise les sous types parfois plus dangereux, cela dépend des endroits sur terre, on laisse le terrain libre aux autres types non-inclus dans le dit vaccin, après quelques années, on se retrouve au point de départ... De plus la vaccin favoriserait l’asthme, ce qui empire les effets secondaires chez bcp d’enfants lors d’atteintes de ces bactéries sur les voies pulmonaires. A long terme, on aide pas nos enfants donc, une pneumonie se soigne en 2 semaines, rarement chez nous les enfants en meurent, et l’asthme c’est une médication à vie. Cherchez l’erreur. Le docteur Hörst rappelle que développer aux USA, le vaccin ne répond aux souches répandues en Europe, seul 30% des infections sont couvertes par ce vaccin nord-américain. 

http://initiativecitoyenne.be/2017/09/grace-au-brevet-sur-le-vaccin-antipneumococcique-pfizer-gagne-sur-de-nombreux-plans.html

Pour les méningites, cela semble pareil l’Angleterre mis en application très tôt ce vaccin, la souche vaccinée a disparue (ce qui fait que je ne juge que rarement les vaccins comme ), mais les autres souches plus rares ont le dessus, après une accalmie de 5 ans, le nombre de malades par méningites est revenu au même niveau. Je ne suis pas scientifique, mais l’adage « La nature a horreur du vide », me semble adapter la médecine dans le cas de ces maladies contagieuses devrait essayer de vivre avec en « symbiose » avec celles-ci, la vaccination de masse n’est pas une solution pour toutes les maladies, partout dans le onde, tout le temps.

Le médecin allemand rappelle qu’en Europe, Allemagne, la méningite la plus courante est la B, mais hélas aucun vaccin n’existe pour le type B. 


Si demain on vaccine tt le monde pour X virus ou bacterie, que celui-ci ou celle-ci mute, on recommence au début ? Là, certains pays vont dans cette direction, la France, l’Italie, l’Australie, les USA... C’est très dommage. 

Le vaccin du genre des 3 cités coutent parfois 250 € la dose, nos systèmes de sécu s’endettent pour cela. En Espagne, de par les pratiques sexuelles apparemment, le HPV ne semble pas être un problème de santé publique, sauver apparemment une vie, coutera plus de 28 millions d€ de vaccins, car il y a que quelques morts par an de ce virus, la question était, peut-on arriver à sauver ces vies autrement qu’avec le vaccin ? 

Le CDC le centre de surveillance vaccinale des USA vient de déclarer le vaccin contre le grippe efficace cette année à 42%, l’année passée, c’était 18%, apparemment, de par les faibles mutations du virus, le vaccin cette année fonctionne mieux. Et l’année prochaine ? 

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