Dans une préface des frères Karamazov, il est relaté les
faits et ce qu’en pensait Stefan Zweig (1926).
Dostoïesvski était un personnage complexe et névrosé : joueur
compulsif, atteint d’épilepsie, habité de tendances sado-masochistes. Il ne s’aimait
pas, se considérait comme un criminel et luttait contre ses pulsions
suicidaires et ses sentiments de culpabilité.
Il avait aussi du talent.