tobor tobor 6 novembre 2017 23:56

@Orélien Péréol
« Pour vous, il y a des valeurs féminines et d’autres masculines ? Et les mâles n’acceptent pas les valeurs féminines ? »
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L’impact du féminisme dans la société aurait dut être « moins d’automobiles » mais ce fût plutôt « à chacune sa bagnole ».

Il me semble qu’il est d’essence « féminine » (et je ne veux pas dire que c’est exclusivement l’apanage des femmes mis-à-part pour la reproduction) entre autre le social, l’alimentation, les arts, le soin, l’éducation, ... et d’essence « masculine » (donc pas « les hommes »), la guerre, la compétition, le show, les affaires, la technologie, la justice, la politique, ...
Cette non-acceptation transpire la société actuelle à voir ce qui y est valorisé ou plus crûment, « là où vont les sous » et ce qui est délaissé ou livré aux affaires et au show.
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D’un autre côté, une pseudo-révolution féministe s’est occupée d’investir des positions de mâles pour en singer l’essence, prêtes à s’y substituer à un 50% symbolique pour n’être finalement que des marionnettes en jupon dans un rôle élaboré par et pour des hommes.
Les hommes tendent eux à se féminiser, à cuisiner, s’occuper des bébés, faire la soupe pour les pauvres, être au moins un peu artiste...
Tout ce mixage ne change rien à l’essence de ces valeurs f et m qui découle de la venue et de l’accueil au monde et de ses impératifs biologique et hormonaux.


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