« You too » : « toi aussi, balance un nom ! »
C’est à ce credo qu’a souscrit la journaliste qui a contacté Nicolas Bedos pour le sommer de lâcher un nom de prédateur supposé. Après avoir insisté fortement( et d’ailleurs ne peut-on parler ici de harcèlement médiatique ?) elle conclut par « un seul nom suffira ». Et c’est vrai qu’un seul nom peut suffire à un journaliste pour faire sa notoriété la joie de son patron (ou patronne) qui exige du scandale et donc de la délation.
« Toi aussi, dénonce quelqu’un ! »