Eric F Eric F 6 novembre 2017 14:46

@sweach
Tout d’abord, merci d’avoir pris le temps de regarder précisément ces données, ce qui m’amène à préciser et rectifier le cas échéant. Les exemples que j’ai pris en compte concernent, comme je l’ai indiqué, des immeubles années 70, il y a de l’entretien courant (locataire), de la réparation, et des gros travaux, l’un des cas a comporté de couteuses reprises d’étanchéité de toit et reprise nez de balcons, même reventilé sur dix ans, ça influe. Les immeubles récents ont évidemment moins de frais, mais ce n’est pas la majorité du parc installé.
Ces travaux sont déductibles des revenus fonciers, mais pas déductibles du montant des impôts
( http://leparticulier.lefigaro.fr/jcms/p1_1604499/le-regime-reel-les-travaux-deductibles-des-revenus-fonciers ), mais un éventuel déficit foncier peut venir en déduction du total de revenus imposables.

Concernant le calcul des impôts et contributions sociales, seule une partie de la CSG est déductible des impôts, à savoir 6,8% sur les 17,2% ( https://www.bforbank.com/mag/impots/csg_deductible.html (en ajoutant la hausse de 1,7% déductible) , ce qui revient selon mon calcul de ce matin à une diminution d’environ 2% du taux total de prélèvements obligatoires sur revenus fonciers (cas de la tranche 30%). Selon la ventilation ( https://www.l-expert-comptable.com/a/532032-comprendre-son-avis-d-imposition.html ) on voit que les prélèvements sociaux sont calculés selon chaque type de revenu, et l’Impôt est caclulé sur la somme des revenus moins la CSG déductible

Je suis d’accord que certains propriétaires ne déclarent pas la location ou n’effectuent pas l’entretien nécessaire (voir remarque de Cyril22 et ma réponse), ce sont des sagouins, mais il ne convient pas de se rattraper sur ceux qui sont dans les clous.


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