Dzan 13 novembre 2017 21:38

@Attilax
Tout à fait
En 1992 l’usine Renault VI de Limoges annonce 320 suppressions de postes ( j’ai déjà discouru sur le sujet)
C’était après la branlée aux Régionales, où ne restait de « socialiste » que le Limousin.
C’était Mitterrand et son gouvernement, qui dirigeait le pays.

Au lieu de montrer, qu’un gouvernement « socialiste » pouvait arrêter le massacre, dans une région sinistrée au niveau emploi ( et oui, déjà) il y eut lutte entre les divers courants du PS, et les 320 passèrent à la porte.

De toutes façons, Louis Longequeue maire de Limoges de 1956 à 1990... n’avait il pas passé un accord secret avec le patronat Limousin de la Chaussure, Textile, Porcelaine, pour qu’aucune grosse entreprise ne vienne s’installer, et surtout avec des salaires, plus élevés que ceux au ras des pâquerettes pratiqués.

Le socialiste Jean Le Bail attentiste pendant la guerre, vomit pendant des semaines, sur le Populaire du Centre sur le grand résistant communiste Georges Guingouin, Compagnon de la Libération, maire de Limoges à la Libération, y compris en l’accusant de crimes, qu’il n’a jamais commis. Il fut d’ailleurs blanchi par la justice.

Jean Le Bail eut son nom en divers endroits de la ville de Limoges, tandis que le nom de Georges Guingouin fut donné à un nouveau pont par la municipalité de droite, qui mit fin à 102 ans de « socialisme » à la mairie de Limoges.


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